Le pâté au whisky, une recette du Grand Manuel du Charcutier
Plein de photos et mes astuces pour réussir au mieux votre pâté à la maison
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Warning : comme annoncé la semaine dernière, explications et photos de viande crue incoming. Ami(e)s végétarien(ne)s, faites-moi signe, je vous rallongerai une newsletter payante supplémentaire ;-)
Bonjour vous !
Ravie de vous retrouver pour un follow-up de l’interview de Marie Caffarel que je vous ai envoyée la semaine dernière. Aujourd’hui, on va décortiquer ensemble l’une des recettes de son livre, Le grand manuel du charcutier : le pâté au whisky.
Comme pour la recette de tarte tatin ou de pastrami, je partagerai avec vous mon retour d’expérience, ainsi que des astuces supplémentaires pour que vous soyez dans les meilleures conditions possibles pour réaliser la recette chez vous.
Petit préambule - pourquoi avoir choisi le pâté ?
J’ai hésité sur le choix de la recette, et ça s’est joué de peu entre le pâté et le pâté-croûte, comme ce dernier est à la mode, avec un côté technique excitant.
Mais finalement, j’ai opté pour notre bon vieux pâté.
Déjà, parce que c’est ma spécialité de charcuterie préférée avec les saucisses, donc voilà, j’ai le droit de me faire plaisir en écrivant cette newsletter 😄
Ensuite, contrairement au pâté-croûte qui a une réputation de charcuterie fancy, le pâté a un côté rustique et humble que j’aime beaucoup. Et pourtant, il offre autant de possibilités que le pâté-croûte : il suffit de voir les merveilles que font par exemple City Larder, une marque de charcuterie australienne, ou La Bonne Terrine, un établissement japonais qui présente ses terrines dans des boîtes toutes mignonnes, telles des pâtisseries précieuses… Bon, faut quand même payer 38 euros pour la petite boîte de 225 g, mais je vous jure que je serais prête à dégainer ma carte bleue ne serait-ce que pour le packaging 😅
Et puis, c’est vraiment le plat parfait pour une entrée si vous recevez des gens. Vous pouvez préparer le pâté plusieurs jours à l’avance, c’est à la portée de tout le monde, c’est pas très cher et ça fait toujours son petit effet. Quand je vois certaines néo-brasseries vendre leur petite assiette de pâté à 10 balles, y’a toujours une part de moi qui se dit qu’ils se mettent bien, là !
Enfin, le pâté est un parfait exemple de la charcuterie dans sa simplicité et sa complexité.